
Le coin de l’inspiration
Le coin de l’inspiration
Vous trouverez ici quelques citations, vidéos, images et textes sélectionnés pour vous inspirer dans vos réflexions sur les 3 thèmes suivants : leadership & changement, épanouissement & bonheur, conscience & sagesse.
LEADERSHIP & CHANGEMENT

Inspirer
Pourquoi est-ce que Apple devance ses concurrents année après année? Pourquoi est-ce Martin Luther King qui pris la tête des mouvements de droits civiques? Cela va au-delà des compétences, car d’autres entreprises et d’autres Hommes l’avaient également. Les leaders inspirants pensent, agissent et communiquent de la même façon ; et c’est la façon opposée à celle des autres: ils commencent par le « why » (la raison d’être, la mission).
SIMON SINEK
Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas tes hommes pour leur expliquer comment faire, mais fais naitre dans leur cœur le désir de la mer.
ANTOINE DE SAINT-EXUPERY
La vraie réussite d’un leader se trouve dans le fait qu’il laisse derrière lui, dans d’autres Hommes, la conviction et la volonté de continuer.
AUTEUR ANONYME
Il y a tant de gens qui s’attribuent le titre de leader, mais qui ne le sont pas. Les leaders sont ces personnes qui, en situations d’incertitude ou de difficulté, ouvrent le pas aux autres, suscitent la confiance et créent de nouvelles réalités qui enthousiasment, inspirent et font sortir le meilleur de chacun.
MARIO ALONSO PUIG
L’impact de nos mots et conversations
Ca suffit ! Arrêtez de ressasser sans cesse les problèmes et de semer des graines de désespoir ! Ca affecte votre santé, vos relations, et votre réussite. Ne vous posez pas en victime, agissez sur ce qui est en votre pouvoir pour changer les choses.
MARIO ALONSO PUIG
La qualité de ton leadership dépend de la qualité de tes conversations.
ALVARO GONZALEZ ALORDA
Nous jouons notre vie sur les conversations que nous avons … mais aussi sur celles que nous n’avons pas… Quelle conversation clé évitez-vous, peut-être depuis longtemps (avec un frère que nous n’avez pas vu depuis des années, avec un ami qui a des problèmes, avec votre collègue démotivé, avec votre chef qui vous manque de respect) ? Préparez cette conversation, abordez-là et transformez-là en une conversation inspirante !
ALVARO GONZALO ALORDA
Un bon leader inspire les gens à avoir confiance en lui, un grand leader inspire les gens à avoir confiance en eux-mêmes.
ELEONORE ROOSEVELT
S’entourer des bonnes personnes et leur donner envie de rester

Lorsque vous recrutez, vous devriez rechercher trois qualités: l’intégrité, l’intelligence et l’énergie. Et s’ils ne possèdent pas la première, les deux autres vous tueront.
WARREN BUFFET
Cela ne fait aucun sens d’embaucher des gens intelligents et de leur dire quoi faire. Nous embauchons des gens intelligents pour qu’ils nous disent quoi faire.
STEVE JOBS
Changement
Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.
GANDHI
Ce n’est pas le vent qui décide de votre destination, c’est l’orientation que vous donnez à votre voile. Le vent est le même pour tous.
JIM ROHN
De même que le feu n’éteint pas le feu, et qu’il est impossible de sécher l’eau avec de l’eau, on ne peut éliminer la violence par la violence.
Leon TOLSTOI
Ce n’est pas parce que c’est difficile qu’on a peur, c’est parce qu’on a peur que c’est difficile.
SENEQUE
On se concentre beaucoup trop et on se met une pression énorme sur le fait de prendre LA bonne décision … alors qu’en réalité ce qui est bien plus essentiel est d’aller dans la bonne direction. On ne peut pas savoir à l’avance si ce que l’on fait est vraiment la meilleure décision à prendre, par contre on peut concentrer son énergie et ses efforts, après avoir décider, à honorer et aller de l’avant dans la direction que l’on a choisit de prendre et le besoin qu’on a choisit de nourrir au travers de ce choix.
JAY SHETTY
Si vous avez l’impression que vous êtes trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez de dormir avec un moustique et vous verrez lequel des deux empêche l’autre de dormir.
DALAÏ LAMA

Tout le monde pense à changer le monde, mais personne ne pense à se changer soi-même.
LEON TOLSTOÏ
Le progrès nécessite le courage de renoncer à ses certitudes et l’audace d’oser sortir des normes.

Le bateau est plus en sécurité quand il est au port ; mais ce n’est pas pour cela qu’on été construits les bateaux …
PAULO COELHO
Le premier pas ne t’amène pas là où tu veux, mais te sort de là où tu es.
Le filet de sécurité s’ouvre quand on saute … alors saute et le filet de sécurité dont tu as besoin apparaitra !

Lors d’un changement culturel, il n’est pas suffisant de changer les stratégies, les structures et les outils. Il faut aussi modifier le système lui-même et les modes de pensée qui ont produit ces stratégies, ces structures et ces outils.
PETER SENG
On dit que les choses changent avec le temps, mais le temps ne fait que passer et nous devons changer les choses nous-mêmes.
ANDY WARHOL

Un imbécile qui marche ira toujours plus loin que deux intellectuels assis.
PROVERBE CHINOIS
Lorsque tu sens que tu vas abandonner, rappelle toi pourquoi tu as commencé.
C’est en revenant à un endroit où rien n’a bougé qu’on réalise à quel point on a changé.
NELSON MANDELA

La folie, c’est se comporter de la même manière et refaire toujours les mêmes choses en espérant des résultats différents.
ALBERT EINSTEIN
Quand une chenille se transforme en papillon, la chenille se désintègre littéralement, ces organes et tout ce qu’elle est fond, elle devient comme une sorte de « bouillie » (l’ancienne version de soi et tous ses repères et modes de fonctionnement sont détruits), et c’est cette « bouillie » qui est reconstituée en un autre être, différent, qu’est le papillon. Un papillon n’est pas une chenille qui s’est greffée des ailes ! Tu ne peux pas espérer changer, tout en conservant ce que tu étais avant, sans être toi-même différent, sans fondre et te remanier.
ISSA PADOVANI

Crise, incertitude et opportunités

En chinois le mot « crise » se dit « Wei-ji » ; « Wei » signifiant « danger » et « Ji » signifiant opportunité ». Fidèle à la philosophie chinoise du yin-yang, qui voit comme indissociables et complémentaires les deux polarités d’une même chose, cette symbolique met en exergue la complexité de toute crise : nous ne pouvons oublier le danger voire le chaos qu’elle engendre ; et en même temps nous ne devons pas oublier l’opportunité et la chance de renouveau qu’elle nous offre. La juste conception d’une crise est de l’envisager en tenant compte de ces deux facettes.
Dans les moments de chaos, on rend parfois ce chaos comme signifiant l’échec de ce que l’on voulait créer, alors qu’au contraire tout ton monde est justement en train de changer. Parfois c’est difficile de voir comment au contraire le chaos du moment va servir de terreau fertile pour construire ce que tu veux voir pousser dans le futur. C’est comme si tu étais un drap dans le tambour d’un sèche-linge, tu veux passer de « mouillé » à « sec », la machine se met en action, tu es balancé dans tous les sens, tu te dis merde, que tout ca n’est rien de ce que tu as voulu, que tu n’es pas en train de sécher … alors que c’est justement la transformation qui te permettra de sécher … si tu arrêtes la machine (le chaos), tu resteras mouillé (version actuelle de toi, non transformée).
ISSA PADOVANI
Il faut avoir un chaos en soi pour accoucher d’une étoile qui danse.
Frederic NIETZSCHE
La foi en soi est la boussole qui guide à travers les tempêtes.
Paulo COELHO
Le conflit est un catalyseur du changement : il met en lumière tous les problèmes sous-jacents, les divergences de points de vue, les insatisfactions qui sont là, les non-dits qui sont restés enfouis. Quand ces désaccords et problèmes sont affrontés, le conflit va nous amener à évoluer chacun, à faire évoluer la relation et à chercher une solution commune.
COCO BRAC DE LA PERRIERE
Les crises que nous traversons ne seraient-elles pas l’opportunité de penser autrement, de se réinventer, de sa rapprocher les uns des autres ?
LAURENT BIBARD
La meilleure façon de prédire l’avenir, c’est de le créer
PETER Drucker
Ceux qui essaient d’éviter l’incertitude finissent seulement par éviter les possibilités.
SADHGURU
On croit que l’incertain n’est que mauvais et que l’inconnu ne peut que faire peur, mais c’est un absurdité logique : on ne peut pas préjuger que cela n’est et ne sera que mauvais. L’incertitude et l’inconnu sont aussi et tout autant la possibilité de merveilles.
LAURENT BIBARD
Quand nous changeons le regard que nous portons sur les choses, les choses sur lesquelles nous portons notre regard changent.
ALBERT EINSTEIN
Il n’y a qu’une seule manière d’apprendre, c’est par l’action … L’échec n’est qu’un détour, pas une destination.
Paulo COELHO
Malgré toutes les crises que nous vivons, on est dans le déni de la complexité du monde et on préfère voir les choses de manière simpliste. Or chercher à ce que les choses soient simples est inévitable et nécessaire, mais croire qu’elles le sont réellement est dangereux. Le simplisme aggrave les risques de la complexité et nous fait passer à côté de ses atouts.
Laurent BIBARD
Tolérer l’incertitude est biologiquement pénible. Nous supportons très mal l’incertitude, comme tous les animaux d’ailleurs : si vous voulez faire peur à une souris, plutôt que de la torturer, rendez son monde incertain … Ce qui différentie les êtres humains, c’est qu’en plus de ne pas supporter l’incertitude, nous avons tendance à adhérer d’autant plus vite, en réaction, à d’autres certitudes (superstitions, théories conspirationnistes, etc.) pour soulager notre cerveau de l’inconfort lié à cette intolérable incertitude.
LAURENT BIBARD
Si tu te trompes de train, descends à la prochaine station. Plus tu tarderas à descendre, plus cher sera le voyage de retour.
Etre leader de soi

C’est moi qui suis à la barre, je suis le maitre de mon bateau sur cette mer.
TRADUCTION ExtraitE DE LA chanson « believer », IMAGINE DRAGONS
Sois tu te crées la vie que tu as envie de vivre, sois tu vis celle qui est programmée par ton inconscient.
CLAUDETTE VIDAL
Tu nais toi quand tu nettoies ce qui n’est toi.
Christian FLECHE
Le pire mensonge que tu peux dire, est le mensonge que tu te dis à toi-même, pour nier qui tu es ou ce que tu ressens.
Le leadership commence par être soi et devenir son propre leader.
La vraie liberté est celle de suivre son propre chemin.
Paulo COELHO
La perte de la croyance que nous sommes notre personnage nous ouvre à la découverte de qui nous sommes vraiment. La reliance au Soi révèle que tout est possible tandis que la reliance à notre âme dévoile qu’un seul choix fait vraiment écho en soi. L’évidence surgit. La liberté se trouve dans l’acceptation du paradoxe que tout est possible et qu’une seule option nous intéresse vraiment.
Claudette VIDAL
Me connaitre est une non-démarche : il s’agit de ne plus lutter contre ce qui m’arrive dans la vie. Me guérir est une non-démarche : il s’agit de ne plus lutter contre ce que je ressens dans mon corps. Me créer est une non-démarche : il s’agit de ne plus lutter contre mon expression spontanée.
FRANCK LOPVET
Ne vous justifiez pas d’exister et n’en demandez pas la permission. Existez !
CLAUDETTE VIDAL
Ne cherche pas à transformer le monde ni à expliquer aux autres qui tu crois être qui serait inspirant. Transforme ton monde en ayant le courage d’incarner dans tes actes la personne que tu as envie d’être.
FRANCK LOPVET
Il existe deux façons de se positionner : affirmer ce que nous sommes – dans un environnement tantôt favorable tantôt défavorable – ou se laisser définir par notre environnement – devenant ainsi le produit du monde extérieur. L’environnement et les autres sont le contexte dans lequel nous exprimons ce que nous sommes, ils ne doivent pas être la source de nos intentions. Le monde sert de décors pour nous révéler à nous-même, il est aussi notre miroir. Comme au théâtre, les autres sont les acteurs qui nous donnent la réplique, nous permettant ainsi de nous découvrir, de nous sentir vivant et de grandir. Rappelez-vous que c’est de votre vie qu’il s’agit et que c’est vous qui attribuez les rôles aux acteurs de votre pièce. Il est nécessaire de s’accorder la première place dans le film de sa vie ; et de s’adapter aux facteurs extérieurs ; pas l’inverse. Ne laissez pas votre environnement vous définir.
Claudette VIDAL
Le leadership c’est avoir confiance en soi, et donner confiance autour de soi.
Nicolas de TAVERNOSt
Si vous ne prenez pas soin de vous personne ne le fera à votre place et votre vide sera sans odeurs ni saveurs. Affirmer ses choix, ses besoins et ses convictions revient à exprimer sa vérité et sa beauté intérieure, c’est un acte d’amour, de leadership et de respect envers soi.
CLAUDETTE VIDAL
Parabole issue du Tarot de la transformation d’Osho :
« J’ai entendu parler d’une très grande mystique soufi, Rabia Al-Adawia. Un soir, on la trouva dehors, dans la rue, en train de chercher quelque chose. Le soleil se couchait, il restait encore un petit peu de lumière. C’était une vieille femme, ses yeux étaient faibles, il lui était difficile de bien voir. Ses voisins vinrent donc l’aider.
« Que cherches-tu ? lui demandèrent-ils. Elle répondit : « Cette question est hors de propos. Je suis en recherche. Si vous pouvez m’aider, aidez-moi. » Ils rirent et lui dirent : « Rabi, tu es devenue folle ? Tu dis que notre question n’est pas pertinente, mais si nous ne savons pas ce que tu cherches, comment pourrons-nous t’aider? ». Rabia répondit : « D’accord, alors disons pour vous faire plaisir que je cherche une aiguille, j’ai perdu mon aiguille. » Ils commencèrent à l’aider mais ils réalisèrent immédiatement que la rue étaient immense et qu’une aiguille est bien minuscule, aussi demandèrent-ils à Rabia : « Où l’as -tu perdue exactement ? La rue est immense et nous pourrions chercher éternellement. » Elle répondit : « Vous posez encore une question hors de propos, quel est le rapport avec ma recherche ? ». Ils s’arrêtèrent et lui répondirent : « Tu es certainement devenue folle ! » ; « Bon d’accord, répondit-elle, alors pour te faire plaisir disons que je l’ai perdue dans ma maison. ». Ils s’étonnèrent : « Mais alors pourquoi tu nous fais chercher ici dans la rue ? » Rabia répondit : « Parce qu’ici il y a de la lumière, alors qu’à l’intérieur de ma maison c’est sombre et on ne voit rien. »
Vous êtes vous jamais demandé ce que vous cherchez dans la vie ? En avez-vous fait l’objet d’une profonde méditation et introspection ? Ou est-ce que vous avancez sans même savoir ce que vous cherchez ? Parfois peut-être en avez-vous une certaine intuition, mais si cela n’est jamais défini avec exactitude, il est fou et inutile de chercher quelque chose qu’on n’a même jamais défini.
Peut-être certains d’entre vous avez identifié des choses que vous cherchez, sans bien identifier où les trouver ? Par exemple vous cherchez le bonheur et vous pensez que c’est dans l’argent, le pouvoir, le prestige, la respectabilité, ou tout autre de ces concepts vagues que vous le trouverez. Mais voyez comme les gens riches, puissants, prestigieux et respectables ne sont pas heureux grâce à cela et que la plupart continuent à poursuivre le bonheur. Si la quête continue malgré le fait de les posséder, c’est bien que le bonheur ne se trouve pas là. Il faut peut-être chercher autre chose, autre part. Ces concepts ne sont pas votre quête mais des sensations vagues de choses qui pourraient, croyez-vous, avoir le même goût que ce que vous recherchez et vous y faire accéder.
L’essentiel, pour le véritable investigateur, c’est-à-dire celui qui est devenu plus conscient, c’est de définir précisément sa recherche, formuler précisément ce que c’est. or, quand vous commencez à définir l’objet de votre quête, il disparait : plus vous essayez de le préciser, moins il est présent, il disparait soudain. L’objet de votre quête n’existe que lorsque vous êtes inconscient. L’inconscience engendre la recherche.
Rabia a raison, à l’intérieur il n’y a pas de lumière, il n’y a pas de conscience dans votre intériorité; vous continuez à chercher à l’extérieur parce que l’extérieur semble plus clair et donc plus simple. Si cela est si sombre en vous, c’est parce que cela fait tant de temps que vous n’avez pénétré votre intériorité et que vos yeux se sont focalisés sur la lumière extérieure. Quand il y a beaucoup de lumière, d’autant plus si elle est aveuglante, la pupille se rétrécit et il devient plus difficile de voir dans l’obscurité. Le vrai chercheur lui, est à l’intérieur et sait que c’est en lui que se trouve tout ce qui peut le satisfaire. Plus il passe de temps dans son obscurité, dans son intériorité, plus il voit en lui et y trouve ses trésors. La lumière intérieure n’est pas si forte et éblouissante que la lumière extérieure, au contraire elle est douce et apaisante, comme un baume. Petit à petit lorsque vous yeux s’habituent à votre lumière intérieure, vous découvrez que vous en êtes la source même ! Vous voyez le trésor en vous, celui que vous cherchiez auparavant à l’extérieur. A moins que vous ne parveniez à connaitre qui vous êtes et à satisfaire par vous-même vos propres besoins avec ce que vous avez en vous, tout ce que vous recherchez est futile et sera insatisfaisant. Votre trésor et la réponse à votre quête est en vous, cherchez dans la bonne direction.

Exprimer sa vision et son leadership
Ne vous demandez pas de quoi le monde a besoin. Demandez-vous ce qui vous éveille à la vie puis faites-le. Car ce dont le monde a besoin, c’est d’êtres qui sont éveillés à la vie.
HOWARD THURMAN
L’écriture, c’est l’expression de soi en direction de ceux qui veulent partager le même monde.
Boris CYRULNIK

Il n’y a aucun guide qui ne puisse me dire où aller ni me servir de modèle. Seule ma voix (voie) intérieure peut me guider au bon endroit. Je suis unique et je suis adulte ; je suis indépendant des schémas et modèles que l’on m’a transmis ; je décide d’avancer en me laissant seulement guider par ma boussole intérieure, en conscience, sans la pagaille des autres malgré toutes leurs bonnes intentions. J’écoute ma voix intérieure qui seule peut me guider vers l’épanouissement et la liberté. Je prends ma place. Je crée ma place.
Rejeter quelque chose d’important pour soi permet d’éviter un conflit mais pas d’être heureux. Prendre sa place et affirmer ce que l’on est est nettement plus satisfaisant.
CLAUDETTE VIDAL
Au lieu d’acheter à votre enfant tout ce que vous n’avez jamais eu, vous devriez lui enseigner tout ce qu’on ne vous a jamais enseigné. Le matériel s’use mais le savoir reste.
BRUCE LEE
EPANOUISSEMENT & BONHEUR

Vivre avec son passé et avec les épreuves de la vie

Les problèmes ont l’importance qu’on leur donne.
JEAN SIMARD
Je ne suis pas ce que mon passé a fait de moi, je ne me réduis pas à cela. La clé du bonheur c’est de vivre AVEC son passé, pas dans SON passé.
CHARLES PEPIN
Vous n’êtes pas ce qui vous est arrivé. Vous êtes ce que vous choisissez de devenir.
CARL GUSTAV JUNG
Le passé est un lieu de référence et non un lieu de résidence.
Martin LATULIPPE
Que ta voix intérieure ne soit pas celle de ton histoire, mais celle de ton être.
ISSA PADOVANI
A qui ou quelle part de moi je reste fidèle et j’honore quand je souffre ? Et si, au lieu de faire perdurer au présent mon histoire personnelle passée, je choisissais d’honorer qui je suis aujourd’hui en posant de nouveaux actes pour créer un nouveau commencement, aligné à ce que je souhaite vivre ici et maintenant ?
Arouna LIPSCHITZ
Pour être heureux dans la vie, il faut simplement laisser venir ce qui vient et laisser partir ce qui s’en va.
Paulo COELHO
Aimons la goutte d’eau qui fait déborder le vase, c’est grâce à elle que commence le changement.
Vivre, ce n’est pas attendre que l’orage passe. Vivre, c’est apprendre à danser sous la pluie.
SENEQUE
Si je vis dans un temps artificiel (mon passé, mon futur, mes pensées ruminantes, mes peurs et mes spéculations), j’alimente en moi la souffrance et la misère. Pour m’apaiser et me régénérer il est essentiel d’utiliser la puissance de l’instant présent, du temps concret et réel qui n’est qu’ici et maintenant, en vivant l’expérience de la réalité dans le présent continu, sans retard ni accélération.
David CIUSSI
Travailler sur soi n’aboutit pas à un changement de soi mais au déni de soi.
Franck LOPVET
Nos tempêtes sont à la hauteur de nos rêves.
NADALETTE LA FONDA
Nos forces proviennent de nos vulnérabilités
Peter LEVINE
Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière.
MICHEL AUDIARD

« Kintsugi » et « Kintsukuroi » : deux mots pour symboliser la valeur de nos fêlures et de notre résilience. Ces mots désignent en japonais l’art ancestral de réparer une poterie cassée avec de l’or. Ainsi réparé, l’objet prend paradoxalement encore plus de valeur qu’avant d’avoir été brisé. Orné de sa « cicatrice », il raconte son histoire et nous enseigne qu’un « accident » (de la vie) n’est pas une fin en soi mais peut aussi devenir le début de quelque chose d’autre, potentiellement encore plus beau et précieux.
La mesure ultime d’un homme n’est pas où il se situe dans les moments de confort, mais où il se situe dans les moments difficiles et de controverse.
MARTIN LUTHER KING
Je ne mesure pas la grandeur d’un homme à la hauteur à laquelle il s’élève dans ses succès, mais à la hauteur à laquelle il rebondit après avoir touché le fond.
GEORGE SMITH PATTON

Quand on vit une catastrophe, souvenons-nous que le pire est déjà passé ! Car en réalité les catastrophes sont là pour nous éviter le VRAI pire. Le pire, c’est bel et bien d’avoir traversé la vie en restant en surface, d’avoir dansé au bas des ombres, d’avoir pataugé dans ce marécage des on-dit, des apparences, de n’avoir jamais été précipité dans une autre dimension.
CHRISTIANE SINGER
Rêves vs Réalité
Rappelez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.
DALAÏ LAMA
Parfois la vie ne te donne pas ce que tu veux, non pas parce que tu ne le mérites pas, mais parce que tu mérites mieux.
AUTEUR INCONNU
Le succès, c’est avoir ce que l’on veut; le bonheur, c’est vouloir ce que l’on a.
BERGMAN
Il faut toujours viser la lune, car même en cas d’échec on atterit dans les étoiles.
OSCAR WILDE
Pour faire face au meilleur, le bien doit reculer.
CARL GUSTAV JUNG
Les limites de nos expériences sont nos croyances.
CLAUDETTE VIDAL
On ne va pas aussi haut que ses objectifs, on va aussi bas que son système : s’il suffisait de se fixer des objectifs pour accomplir de grandes choses, tous les participants aux JO seraient champions olympiques. Ce ne sont pas nos objectifs qui nous rapprochent de nos rêves, c’est notre système, nos routines, nos habitudes. Pour accomplir de grandes choses, passe plus du temps sur ton système que sur tes objectifs.
Thomas GIBOT
Le sens de la vie
Peut-être que le voyage ne consiste pas tant à devenir quoi que ce soit. Peut-être qu’il s’agit plutôt de se défaire de tout ce qui n’est pas soi, afin de pouvoir être ce que l’on était censé être au départ.
Paulo COELHO
Le sens de la vie, c’est d’apprendre à être bien, au-delà de ce qu’on possède, des choses ou des personnes qui nous donnent du plaisir et des événements qui surviennent. C’est de découvrir que le bonheur et le malheur sont à l’intérieur de nous, et non dans les choses ou événements extérieurs.
FREDERIC LENOIR
Le sens de la vie est de trouver votre don. Le but de la vie est de le partager.
WILLIAM SHAKESPEARE
Même la chose la plus petite, si elle a un sens, vaut plus dans la vie que la plus grande chose qui en est dépourvue.
CARL GUSTAV JUNG
Le sens (signification) de la vie, c’est d’aligner le sens (direction) de sa vie à l’essence de sa vie.
BENOIT AYMONIER
Apprendre, s’amuser, développer et utiliser pleinement ses talents, tisser des liens, jouir des plaisirs de la vie, s’émerveiller … voilà notre véritable destinée.
Claudette VIDAL
Le sens de la vie supprimé, il reste encore la vie.
ALBERT CAMUS
Il n’y a pas à vouloir donner du sens à notre vie : si je veux donner du sens à ma vie, je ne peux donner comme sens que le sens que je connais (je ne peux pas donner un sens que je ne connais pas ou que je ne peux pas encore imaginer), or ce que je connais vient du passé, donc chaque fois que je voudrais donner du sens à ma vie je vais vouloir réparer mon passé. Je ne pourrai pas me réinventer. Il n’y a ni à contrôler ni à comprendre ni à juger les choses. Et si je laissais tout simplement la vie prendre sens en moi du seul fait que je me reconnaisse et que j’évolue dans ce que je vis et expérimente.
JEAN-PHILIPPE BREBIO
Oser être soi

La vie est bien trop courte pour perdre son temps à se faire une place là où on n’en a pas, pour démontrer qu’on a ses chances quand on porte tout en soi, pour s’encombrer de doutes quand la confiance est là, pour prouver un amour qui n’ouvre pas les bras, pour performer aux jeux du pouvoir quand on n’a pas le goût à ça, pour s’adapter à ce qui n’épanouit pas. La vie est bien trop courte pour la perdre à paraître, se plier, s’effacer, dépasser, trop forcer. Quand il nous suffit d’être et de lâcher tout combat que l’on ne mène bien souvent qu’avec soi, pour enfin être en paix et vivre en faisant ce que l’on aime, auprès de qui nous aiment, dans un endroit qu’on aime, en étant qui nous sommes vraiment.
ALEXANDRE JOLLIEN
Ce n’est pas l’impossible qui demain pourrait nous désespérer, mais l’idée lancinante du possible que l’on n’a pas osé atteindre.
JEAN MONNET
Oser, c’est perdre l’équilibre un instant. Ne pas oser, c’est se perdre soi-même.
SOREN KIERKEGAARD
Seuls les poissons morts suivent le courant. Soyez vivants: osez aller à contre-courant et être vous-mêmes.
Souviens toi que le temps passe, que tu n’es pas éternel et qu’il n’y a pas de bonheur sans risque.
Marc LEVY
Etre libre c’est savoir dire non. Chaque parole a une conséquence. Chaque silence aussi.
Jean-PAUL SARTRE
Faites le travail qui nourrit votre âme, pas votre ego.
JESSICA WALSH
Le bonheur c’est le plaisir sans remords.
SOCRATE
Si nous fuyons devant nos peurs comme le cheval devant son ombre, nous ne pourrons jamais les distancer. Mais en cessant de fuir, nous cessons de les nourrir.
Christophe ANDRE
Dans un monde inconnu, l’instinct nous incite à résister, à ne pas plier, tant qu’une autre possibilité ne se présente pas. En attendant, nous nous contractons et nous « tenons » dans l’espoir de vents plus calmes et qu’un autre horizon apparaisse. Et quand le vent force encore et que la situation s’aggrave, non seulement nous tenons mais nous nous replions et nous nous retenons. Nous retenons nos instincts, nos désirs, nos envies, nos intuitions, nos rêves, nos rires. Nous nous enchainons à ce pilori qui nous soutient et nous incarcère à la fois. Nous tenons alors que, de nous, il ne reste plus qu’une coquille vide et vidée désormais, qui ne sait faire qu’une chose : persister, tenir bon. Tant que nous ne nous respectons pas et aimons pas, nous demeurons des morts-vivants, perdus à nous-mêmes. Gardez à l’esprit que « tenir bon » est un verbe funeste. Ne vous taisez plus, nous vous retenez plus, libérez la force vitale qui rugit en vous : oui, nous allons tous mourir, mais avant ta mort, ne sois pas un mort-vivant, ne survis pas ta vie, choisis ta vie et vis la pleinement.
NADALETTE LA FONDA

Relations
Ne laissez pas les personnes négatives et toxiques louer de l’espace dans votre tête. Augmentez le loyer et, s’il le faut, mettez-les à la porte.
ROBERT TEW
L’empathie pour l’autre sans limite saine pour soi est de la maltraitance envers soi. L’amour inconditionnel ne veut pas dire la tolérance inconditionnelle. Fixe des limites bonnes pour toi et n’accepte pas d’être le déversoir de la merde de l’autre.
Lewis Huckstep
Les seuls beaux yeux sont ceux qui vous regardent avec tendresse.
COCO CHANEL
Ce qui est important ce n’est pas à quel point l’autre t’aime ; l’unique chose qui devrait t’importer est « comment » l’autre t’aime et est-ce que cette manière de t’aimer te contribue.
Lewis Huckstep
L’opinion que vous avez de vous-même influe sur toute votre vie, vos choix et vos relations.
CLAUDETTE VIDAL
Votre tâche n’est pas de chercher l’amour, mais d’identifier et déconstruire toutes les barrières que vous avez érigées contre lui.
Rumi
Fais attention à ce que tu tolères … tu enseignes aux autres comment te traiter.
Ta valeur, en tant qu’être, est non négociable. N »accepte rien ni personne qui la diminue.
Aimer, c’est prendre soin de la solitude de l’autre, sans jamais prétendre la combler ni même la connaître.
Christian BOBIN
Il n’y a à aller chercher l’amour puisque l’amour est un constat qui se fait quand on est dans l’expérimentation du respect de notre vérité.
Jean-PHilippe BREBIO
Aristote écrit : « Aimer, c’est se réjouir », idée que reprendra Spinoza, quelque vingt siècles plus tard, en disant – et c’est la définition de l’amour que je préfère : « l’amour est une joie qui accompagne l’idée d’une cause extérieure ». Autrement dit, aimer c’est se réjouir de.
ANDRE CONTE-SPONVILLE
Si quelqu’un vous dit : « Je suis joyeux à l’idée que tu existes », vous prendrez cela pour une déclaration d’amour, et vous aurez évidemment raison. Vous aurez aussi beaucoup de chance, parce que c’est une déclaration spinoziste d’amour, ça n’arrive pas tous les jours, beaucoup de gens sont morts sans avoir entendu ça ; et puis, surtout, c’est une déclaration d’amour qui ne vous demande rien. Et ça, c’est tout à fait exceptionnel. Profitez-en bien ! Parce que si quelqu’un vous dit : « Je t’aime », mais s’avère être platonicien, son « je t’aime » signifie en vérité « Tu me manques, je te veux ». Donc il demande tout, puisqu’il vous demande vous-même. Alors que si quelqu’un vous dit : « Je t’aime » en un sens spinoziste, cela veut dire : « Tu es la cause de ma joie, je me réjouis à l’idée que tu existes ». Il ne demande rien puisque votre existence suffit à le convaincre et à le satisfaire.
J’en ai connus des vrais mecs bons. Des gens profondément bons. Et tu sais quel est leur point commun ? Ils sont tous bienveillants. Donc quand tu lis un truc qui ne l’est pas, tu sais que le mec n’est pas bon, même s’il aurait voulu l’être.
ALEXANDRE ASTIER
Personne ne peut vous faire sentir inférieur sans votre consentement.
ELÉONORE ROOSEVELT
Les gens qui ne savent ni m’aimer ni m’accorder leur bienveillance, ni me respecter, je ne me dois plus à eux. Je les laisse à leur choix de vie dont ils sont seuls maitres.
NADALETTE LA FONDA
Dans une relation, plus on cherche à se mettre en sécurité face aux peurs que l’autre active en nous, plus on sabote la relation, on évite de la « vraie » rencontre avec l’autre, on entretient la tristesse de devenir esclave de ses peurs et on s’éloigne de soi (pas le moi blessé, mais le moi essentiel et libre de mon histoire personnel.
Florence ESCARAVAGE
Les relations amoureuses qui impliquent un amour profond et authentique sont souvent difficiles, car la plupart des gens ont été blessés et n’ont pas dépassé leurs traumas passés. Lorsqu’ils rencontrent l’amour ils doivent apprendre à aller au-delà de leurs masques et de leurs mécanismes de protection pour s’ouvrir pleinement et vivre cet amour, ce qui est très dur ; et quand une telle relation amoureuse si profonde s’arrête, cela peut raviver les traumas et dévaster la personne au point de réveiller en elle des parts sombres prêtes à tout pour ne plus souffrir.
L’amour, ca ne se rêve pas, ca se vit, se pratique et s’apprend.
Arouna LIPSCHITZ
La pire des souffrances, c’est de ne plus pouvoir aimer […]. Il n’y a pas de souffrance plus atroce que celle d’aimer une femme qui vous donne son corps et qui pourtant est incapable de livrer son être véritable – parce qu’elle ne sait pas où le trouver
Fiodor Dostoïevski
L’amour véritable, ce n’est pas de faire les choses PAR ou POUR l’amour de l’autre (cela est du sacrifice ou de la dévotion), mais DANS l’amour de soi comme de l’autre.
Mathilda
L’absence d’affirmation de soi se traduit par un masque de gentil que l’on porte pour éviter de défendre ses idées et ses besoins. Cette attitude de complaisance pollue les relations, détournant l’attention de soi pour obtenir reconnaissance et confort relationnel. Je te souhaite d’être aimé pour ce que tu es et non pas pour ton masque de gentillesse. Sors du « il faut être gentil pour être aimé », affirme ce que tu es, aime ce que tu es, et construis des relations avec ceux qui t’aiment tel que tu es.
CLAUDETTE VIDAL
La rigidité et le contrôle rejette, l’amour demande de la souplesse.
MATHILDA
Les conflits sont une composante inévitable de notre vie en société. Certains dépensent une énergie incroyable à les éviter, mais nier les conflits est un déni contreproductif qui ne fait qu’amplifier le problème et aboutir à un enlisement. On se trouvera invariablement en désaccord avec autrui à un moment ou à un autre, et ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose !
Coco bRAC DE LA PERRIERE
Pour connaitre les amis il est nécessaire de passer par le succès et le malheur. Dans le succès nous vérifions la quantité, dans le malheur la qualité.
Confucius
Nous avons besoin d’entendre l’histoire de jeunes parents qui rient à 4h de matin quand leur bébé cesse enfin de crier, nous avons besoin d’entendre des histoires de fraternité, celles d’hommes qui n’ont plus peur de parler entre eux de leurs sentiments. Nous avons besoin d’entendre des histoires sur ce qui nous touche et que l’on n’a pas osé confier à nos amis. Nous avons besoin d’entendre les histoires de ces femmes qui ont réussi à s’aimer pour connaitre enfin la paix. Nous avons besoin d’entendre les histoires de ces couples qui vivent ensemble depuis 13 ans et qui continuent à s’apporter un verre d’eau sans que l’autre n’ait rien demandé, d’apprendre qu’en dépit des choses petites ou grandes, parfois sans importance à propos desquelles ils argumentent, en dépit de ces disputes qui transforment leur chambre en lave, ils y retournent chaque nuit rêvant en s’endormant de pouvoir réapprendre à s’aimer comme aux premiers jours. Nous avons besoin d’entendre les histoires de ces gens qui se sont rencontrés au mauvais moment, et au bon moment. Nous avons besoin d’entendre les histoires de ceux qui s’aiment d’un amour calme. Entendre aussi les histoires de ceux qui disent « au début, j’ai tout raté, et puis ensuite … ». Nous avons besoin d’entendre les histoires de ceux que nous avons aimés sans avoir pu leur dire, aimés tout en étant loin d’eux, aimés tout étant obligés de partir. Nous avons besoin d’entendre notre histoire quand, dans un miroir, nous voyons nos négligences, nos renoncements et nos obstinations, et de savoir que si, dans ces moments-là, nous arrivons à trouver quelque chose d’aimable à nous dire, alors peut-être qu’il s’agit aussi d’un peu d’amour.
MARC LEVY
Aimer, c’est oser dépasser sa peur de l’intimité – se déshabiller corps et cœur devant l’autre – ; c’est montrer ses imperfections et arrêter d’être en compétition et en guerre avec soi et son idéal.
Florence ESCARAVAGE
Nous passons tant de temps à rattraper ce que nous n’avons pas su dire …
NICHOLAS SPARKS
Très tôt dans ma vie me je suis dit qu’il fallait que je tue le père (psychologiquement) avant qu’il ne meurt …
PANAYOTIS PASCOT
Mon père c’est un astre très fort autour duquel on gravite tous un petit peu, et je me suis dit qu’il faut que je devienne ma propre personne à un moment, faut que je le tue, et quand j’ai appris qu’il était malade et qu’il allait potentiellement mourir bientôt, je me suis dit faut le tuer au plus vite, avant qu’il ne meurt …
Le dilemme du hérisson, de Schopenhauer, c’est un dilemme qui dit que quand les hérissons naissent, ils ont des piquants qui sont mous, et leur 1ere hibernation peut leur être fatale parce que s’ils se mettent trop près de leurs congénères ils vont se faire piquer et mourir d’hémorragie, et s’ils se mettent trop loin de leurs congénères ils vont mourir de froid ; donc de la survie du hérisson dépend sa capacité à trouver la bonne distance avec ses congénères …
Et moi je me suis dit : mon père quand je suis trop près il me pique, quand je suis trop loin j’ai froid, il faut que je trouve la bonne distance.
Il est clé de différencier les méthodes d’éducation des méthodes de dressage. Si vous envoyez votre enfant dans sa chambre à la moindre transgression vous allez en faire un enfant « bien élevé » … c’est-à-dire en réalité bien « dressé ». Mais le but de l’éducation n’est pas de construire un individu dressé, c’est-à-dire obéissant, soumis à l’autorité … et donc vulnérable à tous les autoritarismes, ce qui est très dangereux … Le but de l’éducation c’est d’aider un être à se construire dans la dignité, dans l’amour, vers sa liberté et singularité.
Pierre Vesperini
Réussir sa vie

Il n’y a que deux personnes en ce monde que vous devez rendre fières. Ce ne sont pas votre père et votre mère. Ce sont la version de vous quand vous aviez 8 ans et la version de vous quand vous aurez 80 ans. Si ces deux personnes sont heureuses de la manière dont vous avez vécu votre vie, alors vous avez fait ce qu’il fallait.
ULYSSE LUBIN
On a dû te dire qu’il fallait réussir dans la vie; moi je te dis qu’il faut vivre, c’est la plus grande réussite du monde. On t’a dit: « Avec ce que tu sais, tu gagneras de l’argent. » Moi je te dis: « Avec ce que tu sais tu gagneras des joies. » C’est beaucoup mieux. Tout le monde se rue sur l’argent. Il n’y a plus de place au tas des batailleurs. De temps en temps un d’eux sort de la mêlée, blême, titubant, sentant déjà le cadavre, le regard pareil à la froide clarté de la lune, les mains pleines d’or mais n’ayant plus force et qualité pour vivre; et la vie le rejette. Du côté des joies, nul ne se presse; elles sont libres dans le monde, seules à mener leurs jeux féeriques sur l’asphodèle et le serpolet des clairières solitaires.
Jean Giono, Les vraies Richesses, 1936.
Quand je suis allé à l’école, ils m’ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand.
JOHN LENNON
J’ai écrit « être heureux ».
Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question.
J’ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie !
On pourrait pas se détendre un peu ?? Arrêter de vouloir être performant, de vouloir être à la hauteur, de vouloir réussir ?? C’est cette volonté de réussir sous toutes les formes possibles qui a conduit l’humain à exploiter et détruire la planète comme lui-même. Et si chacun levais le pied et cherchait à être heureux plutôt que performant ?
FRANCK LOPVET
Il vaut mieux suivre le bon chemin en boitant que le mauvais d’un pas ferme.
SAINT AUGUSTIN
On gagne sa vie avec ce que l’on reçoit, mais on bâtit sa vie avec ce que l’on donne.
WINSTON CHURCHILL

Prends garde à ne pas te perdre toi-même en étreignant des ombres.
ESCOPE
Rien n’est avantageux qui te fait perdre le respect de toi-même.
MARC AURELE
Jugez votre succès selon ce que vous avez dû sacrifier pour y arriver.
DALAÏ LAMA
Il n’existe ni échec, ni réussite, ni remords, ni regret, juste un cheminement vers soi… Alors au nom de quoi nous dénigrons-nous systématiquement et de quoi pourrions-nous nous tenir rigueur ?
NADALETTE LA FONDA
Celui qui est riche est celui qui sait quand il a assez.
LAO TSEU
Clarifie tes intentions : Qu’est-ce que j’ai envie de vivre ? Qu’est-ce qui met mon cœur en joie ? A quoi aspire mon âme ?
CLAUDETTE VIDAL
La joie & mon corps comme indicateurs

Ma seule validation c’est la joie dans mon corps, le plaisir dans mon cœur et le pétillement de mon esprit. Ils ne mentent jamais.
NADALETTE LA FONDA
Comme le temps, mon corps s’est révélé être un allier tangible et indomptable. Le jour où j’ai dégradé mon corps, il a développé des liens totalement inédits avec moi. Je me suis ancrée en lui, reposée en lien, en confiance. Parce que j’écoute et respecte sa fatigue, mon corps est mon maître. Mon corps est mon allier le plus intime, qui m’alerte au moindre abus, que j’en sois la cause ou l’objet. Mon corps m’a donné accès à des connaissances extrêmement pointues et sensibles de mon mode de fonctionnement et de mon système de guérison. Lentement, millimètre par millimètre, il collabore à ma reconstruction; avec l’aide du temps … et l’importance du temps long. Si j’avais voulu guérir dans l’instant et par la force, je ne serais arrivée à rien, je me serais crashée. Ce que j’ai pu récupérer physiquement a pris plus de 3 ans. Cette reconstruction nécessite aujourd’hui que je prenne un soin extrême et bienveillant de mon corps fragile et vulnérable ; et que je lui consacre le temps qu’il mérite et qui lui est nécessaire, en lui donnant du bon et le gardant au meilleur de sa forme, dans le respect de ses limites et des miennes. J’en prends soin et il prend soin de moi. Il n’est plus ce véhicule mal entretenu, poussé à bout, exploité, à la motorisation débridée que j’avais asservi à mes buts et ambitions. Je comprends ses messages silencieux et j’en tiens compte. Je sais ses difficultés et je les respecte. Je ne lui impose rien qui ne soit bon pour lui.
NADALETTE LA FONDA
Le révélateur le plus farouche de nous-mêmes c’est notre corps. Il nous parle, il hurle même. Notre corps est notre défenseur le plus intègre. Il émet des signaux de fumée comme un vieil Indien sage. Il nous alerte dès que nous nous engageons sur une route qui ne nous convient pas ou que nous nous enfonçons dans un sentier qui ne nous convient plus. Lui dit toujours vrai, il nous reste à l’écouter et à l’entendre. La voix du corps est subtile. Notre corps sait avant nous comment nous pouvons et allons réagir. Notre corps s’exprime sans ambages. Mais si nous demeurons sourd à ses appels à l’aide, il finira las et seul maitre à bord, d’un esquif chaviré qui sombre.
NADALETTE LA FONDA
Prenez soin de votre corps; c’est le seul endroit où vous êtes obligés de vivre.
JIM ROHN
Qu’est-ce que le bonheur sinon le simple accord entre un être et l’existence qu’il mène ?
ALBERT CAMUS
CONSCIENCE & SAGESSE

Accepter la réalité tout en prenant ses responsabilités

L’acceptation ce n’est ni approuver, ni se soumettre, ni renoncer ; ce n’est pas dire « C’est bien ». C’est faire face à la réalité de ce qui est, c’est dire « C’est là ».
Christophe ANDRE
Ayez la sérénité d’accepter ce que vous ne pouvez pas changer, le courage de changer ce que vous pouvez, et la sagesse d’en faire la différence.
MARC AURELE
Se faire du souci, c’est perdre l’aujourd’hui, en sabotant les opportunités de demain, avec les problèmes d’hier.
William ARTHUR WARD
Ton attitude est la seule chose que tu peux changer et c’est là toute ta responsabilité. Agir avec responsabilité implique de toi deux actes : vouloir savoir et oser dire.
ABBE PIERRE
La légende du colibri : Un jour, dit la légende, il y eut un énorme incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher des gouttes d’eau avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces quelques gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! » Le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »
On ne trouve jamais la paix en fuyant la vie.
Virginia WOLF
Vivre au présent

Notre existence n’est pas un problème à résoudre mais une expérience à vivre.
Jean-PHILIPPE BREBIO
La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent.
ALBERT CAMUS
Le vrai danger dans le fait de vouloir contrôler tout ce qui se passe dans notre vie, c’est de ne pas vivre notre vie au présent … et donc de la rater vraiment !
LAURENT BIBARD
La peur est un obstacle plus grand que l’obstacle lui-même.
Paulo COELHO
Si l’on n’est pas disponible au présent, on loupe des choses. L’origine du mot « bonheur » est l’expression « à la bonne heure », c’est-à-dire que le bonheur signifie savoir saisir les choses quand elles se présentent et quand c’est le bon timing pour soi.
LAURENT BIBARD
La vie est expérimentation.
Soyez conscient de la manière dont vous vivez votre vie ! Faites en sorte de vivre de manière à ce que chaque étape que vous traversez ne devienne pas un pèlerinage emprunt de souffrance et de désespoir mais une belle occasion de célébrer la vie, de vous amuser, de voyager dans votre vie comme dans une caravane de joie, de chant, de danse, de musique, de créativité, d’amour et de vie! Et si l’on peut traverser la nuit noire en chantant et dansant, alors pourquoi se torturer inutilement ?
OSHO

Attendre sans cesse un événement futur, un projet, une rencontre, un dîner, un amour, des vacances, du temps libre, la retraite … Le bonheur semble toujours à venir. Personne ne paraît satisfait de ce qu’il a, du temps présent dans lequel on vit. Alors on rêve du futur, on néglige le présent, que l’on trouve banal ou insatisfaisant ; pourtant la vie s’écoule et se joue maintenant, dans cet instant même où vous me lisez. La vie est précieuse à tout moment.
CHARLOTTE VALANDREY
Vouloir faire des miracles et être fantastique relève du monde de l’égo et du mental : toujours plus, plus vite, toujours mieux, désirer aller au-delà, pour y obtenir sa valeur et de la respectabilité. Avoir plus d’argent, plus de responsabilités, plus de reconnaissance, un meilleur statut … ou même être plus conscient, plus clairvoyant, plus « parfait ».
Lorsqu’on sort du monde de l’égo et du faire on vit enfin dans l’être et le moment présent. Je ne suis pas un « faire humain » mais un « être humain ». Je lâche prise et je m’accepte tel que je suis, je vois mes qualités et accepte avec amour mes imperfections. Je n’ai rien n’a prouver, je n’ai pas de chose extraordinaire à obtenir ou réaliser pour avoir de la valeur. La vie est un miracle en soi. Je vis pleinement ce cadeau que sont le moment « présent » et la vie, en conscience et authenticité à chaque moment.
A partir de maintenant, je choisis de révéler ouvertement ce que je suis et ce qui est vivant en moi, quand bien même les autres pourraient ne pas apprécier ce cadeau.
Marshall B. Rosenberg
A partir de maintenant, je choisis de rêver mes propres rêves, afin de pouvoir savourer pleinement l’exaltation mystique d’être humain.
Quand notre folie est à la hauteur de notre sagesse

Jouir de sa vie c’est se mouiller à chaque instant, accepter l’inconnu et les risques et aller au bout de ses rêves.
CLAUDETTE VIDAL
Souviens-toi qu’il y a deux types de fous : ceux qui ne savent pas qu’ils vont mourrir et ceux qui oublient qu’ils sont en vie.
MATTHIEU RICARD
Qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit.
FRANCOIS DE LA ROCHEFOUCAULT
Certains ne deviennent jamais fous … Leurs vies doivent être bien ennuyeuses.
Charles BUKOWSKI
Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette pas.
OSCAR WILDE
Il y aura dans votre vie des moments où votre instinct vous dira de faire quelque chose qui défie la logique, bouleverse vos plans et peut sembler fou au yeux des autres. Lorsque cela se produit, foncez ! Ecoutez votre instinct et ignorez tout le reste. Ignorez la logique, ignorez les probabilités, ignorez les complications et faites-le ! Répondez à cet appel, c’est l’appel de votre âme.
JUDIT MCNAUGHT
Et si l’on se donnait l’opportunité de retourner à la douce inconscience qui préside à la vie quand on a pas encore essayer de contrôler le voyage ?
Franck LOPVET
Pour faire face au meilleur, le bien doit reculer.
CARL GUSTAV JUNG
Soi vs l’autre

La loyauté, c’est aussi et avant tout d’être fidèle à soi-même.
GERMAIN VERONNEAU
L’avis des autres n’est que la vie des autres.
PAUL AMARO
Vous ne serez jamais vraiment heureux si vous recherchez la validation chez les autres ; la seule validation qui puisse vous rendre heureux est la vôtre.
Tout jugement, toute critique, est l’expression tragique d’un besoin non satisfait. Tragique, car en général cette manière de s’exprimer ne permet pas d’obtenir ce que l’on veut vraiment (nourrir ce besoin essentiel resté en friche) et génère en plus des tensions de toutes sortes.
MARSHALL ROSENBERG
La minute où vous commencez à vous soucier de ce que pensent les autres, c’est la minute où vous cessez d’être vous-même.
MERYL STREEP
Moins on sait qui l’on est, plus on s’accroche à ce qui pourrait nous valoriser.
LAURENT GOUNELLE
Tant que tu te soucieras de ce que les autres pensent, tu seras leur prisonnier.
LAO TSEU
Quand l’esprit est libre, tout est libre autour de soi.
KOAN ZEN

Vous n’êtes pas la cause des actes d’autrui. Ce que les autres disent et font n’est que la projection de leur propre réalité, de leur propre rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre les opinions et les actes d’autrui, vous n’êtes plus victime de souffrance inutile.
DON MIGUEL RUIZ
C’est en renonçant à la reconnaissance que l’on peut accéder à l’épanouissement.
LAURENT GOUNELLE
Le bonheur ne peut venir que de l’intérieur et il est le fruit de votre amour. Rien ni personne ne peut vous rendre heureux. Votre bonheur est le résultat de votre propre amour, celui que vous vous donnez à vous-même.
DON MIGUEL RUIZ
Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, alors que ta réputation est ce que les autres pensent de toi. Et ce que les autres pensent de toi, c’est leur problème.
CHARLIE CHAPLIN
Si je prends soin de l’autre en me négligeant moi-même, j’entretiens la négligence et non le soin.
THOMAS D’ANSEMBOURG

Chacun est unique. Lorsque l’on se sent (ou cherche à se sentir) inférieur ou supérieur à l’autre, on est dans l’égo et dans un jugement de soi et de l’autre inadapté : chacun étant unique, nous sommes incomparables. Il n’y a aucune valeur à comparer, à prouver, à gagner ou à perdre dans le regard et le jugement de l’autre ; ni aucune peur à avoir de son jugement ou rejet éventuel. Ma valeur est innée et en moi. Je ne dois pas la dévier en l’autre. Qu’on m’aime ou me déteste, qu’on m’insulte ou qu’on m’encense, je connais ma valeur et elle ne bouge pas. J’observe en restant centré. Ma valeur ne dépend pas du regard de l’autre, elle est inébranlable, inestimable et profondément ancrée en moi ; elle n’est ni inférieure ni supérieure à l’autre, elle est ce qu’elle est, unique et incomparable.
J’identifie quand je me sens blessé par le regard ou le jugement de l’autre. Je me rappelle que « l’avis des autres c’est la vie des autres » et qu’il est normal que certains m’aiment et d’autres non, cela est la nature de toute chose. Je me rappelle que l’autre ne peut m’atteindre uniquement si je lui en donne le pouvoir et si je mets ma valeur en son regard et jugement. Je me rappelle que je suis aussi apprécié et aimé d’autres personnes qui m’importent davantage et que dans tous les cas ma valeur est innée, inébranlable et réside en moi.
Atteindre la sérénité en se laissant traverser et en allant au-delà de nos émotions

L’égo dit : quand tout sera en place, je trouverai la paix. L’âme dit : trouve la paix et tout se mettre en place.
Pardonne aux autres non pas parce qu’ils méritent le pardon mais parce que toi tu mérites la paix.
CHRISTOPHE ANDRE
Combien pèse notre planète ? Chaque bâtiment, chaque montagne, chaque océan ? Notre planète est immensément lourde … et pourtant, elle flotte et tourne dans l’univers avec légèreté, portée par l’espace et le mouvement de la vie. Si l’espace peut porter autant de poids que cette planète, pourquoi ne serait-il pas capable de porter le poids de notre vie et de notre passé ? Pourrions-nous nous laisser porter par l’espace et le mouvement silencieux de la vie qui nous entoure ?
DAVID CIUSSI
Tout passe, le mauvais comme le bon, la colère et le désespoir comme l’amour. Je ne suis pas mon émotion, je ne suis pas ce qui se passe dans ma vie. Je suis conscient que tout passe, seul « moi » subsiste. Je reste observateur, détaché, conscient du mouvement qui se passe en moi.
OSHO
Lorsque la mer est déchainée à la surface, règne le calme dans les profondeurs. Je plonge en moi-même, au plus profond de ma conscience, pour retrouver la paix qui ne peut être qu’intérieure et traverser le moment présent avec conscience et en restant aligné à qui je suis.
Le changement devrait venir du plus profond de votre être, et non de sa périphérie. Tous les tourments sont à la périphérie ; en votre fort intérieur il n’y en a pas. Vous êtes comme la mer : quand vous l’observez, tout le tumulte, toute l’agitation des vagues n’est qu’en surface. Mais quand vous y rentrez, plus vous allez en profondeur plus vous y trouvez le calme. A l’endroit le plus profond de la mer, il n’y a aucune perturbation, pas une seule vague. Commencez par plonger profondément dans votre mer intérieure afin de parvenir à une certaine cristallisation d’apaisement, afin de pénétrer là où jamais aucune agitation ne parvient. Tenez-vous là. C’est de là que vient tout changement, toute transformation. Une fois que vous êtes là, vous êtes maître de vous-même.
Si tu crois que tu es éveillé, va passer une semaine chez tes parents …
Dons & Don de soi
Ne donne que l’eau qui déborde de toi, ne cherche pas à produire de l’eau pour en donner.
ISSA PADOVANI
Ne te prive pas de qui tu es, et n’en prive pas les autres.
MAUD ANKAOUA
Donne tes mains pour servir et ton cœur pour AIMER.
MÈRE TERESA
Il y a autant de générosité à recevoir qu’à donner.
Julien GREEN

Choisir & répondre en conscience
La façon dont les gens vous traitent est leur karma. La manière dont vous réagissez est le vôtre.
WAYNE DYER
Etre dans un état de conscience, c’est être ouvert et détendu au niveau mental, émotionnel et corporel.
ISSA PADOVANI
La conscience en mouvement est la joie et la compassion qui vibrent en soi ; la conscience qui se repose est le calme et la sécurité intérieurs.
Que vos choix soient le reflet de vos espoirs et non de vos peurs.
NELSON MANDELA
Apprends à dire « non » sans te sentir coupable. Ta seule responsabilité dans ta vie est de protéger ta flamme intérieure, ton temps et tes priorités.
Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. l’un et l’autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.
Steve JOBS

Le mental est la dernière partie de vous-même qu’il faut écouter. Il pense à tout ce que vous pouvez perdre. Le cœur pense à tout ce que vous pouvez donner et recevoir ; l’âme pense à tout ce que vous pouvez être.
RALPH WALDO EMERSON
Le plus long voyage que tu devras faire au cours de ta vie est le chemin sacré qui te mènera de ta tête à ton cœur.
PROVERBE SIOUX
Ce que l’on réprime, s’imprime.
Ce à quoi l’on résiste, persiste.
Ce qui nous affecte, nous infecte.
Ce que l’on fuit, nous poursuit.
Ce à quoi l’on fait face, s’efface.
Ce que l’on visualise, se matérialise.
Ce que l’on bénit, nous ravit.
J’ai appris à ne plus contrôler mais à maitriser, c’est totalement différent ; c’est agir en mon nom, comme mon propre maître.
NADALETTE LA FONDA
Tu es le maître de ta vie et peu importe ta prise, tu as les clés.
DALAÏ LAMA
Ce que l’on n’apprend pas par la sagesse, on l’apprend par la souffrance.
On crée notre réalité

Où est-ce que j’oriente mon énergie ? Est-ce que j’utilise mon énergie à juger voire critiquer (les autres, la vie, ou moi-même), à ressasser ce qui ne va pas ? Ou est-ce que je libère mon énergie de manière positive en la mettant au service de mes buts, en l’utilisant dans des activités qui contribuent à mon bonheur et créent le positif autour de moi?

Un jour un homme arriva au paradis. La conception hindoue du paradis veut qu’il s’y trouve des arbres, les Kalpatarus, qui exaucent tous les vœux. En vous asseyant simplement sous l’un d’eux, dès que vous désirez quelque chose, ce souhaite se réalise instantanément. Vous pensez et immédiatement votre pensée se concrétise. Ces Kalpatarus sont en réalité le symbole de votre mental.
Cet homme était fatigué, il s’endormi sous l’arbre. Lorsqu’il se reveilla, il avait très faim. Il pensa : « J’aimerais bien trouver de la nourriture… » et venant de nulle part, de la nourriture apparut devant lui. Il mangea enchanté et, une fois rassasié, il pensa : « Si seulement je pouvais avoir quelque chose à boire, j’ai soif ! ». Et immédiatement, de l’eau et du vin apparurent. Tout en buvant, il commença à s’interroger : « Que m’arrive-t-il ? Suis-je en train de rêver ou y a-t-il des fantômes en train de me jouer des tours ? » Des fantômes apparurent. Ils étaient terrifiants. L’homme se mit à trembler et pensa : « Mon Dieu, j’ai peur, ils vont me tuer ! » Et les fantômes le tuèrent …
Parabole issue du tarot de la transformation d’Osho
Et vous, créez-vous votre enfer ou votre paradis avec vos pensées ? Observez vos pensées sur vous-mêmes, sur les autres et sur le monde. Créez-vous par vos pensées votre malheur ou votre joie ?

Une légende amérindienne raconte qu’un soir un vieil indien Cherokee conte à son petit-fils l’histoire de la bataille intérieure qui existe chez tous les Hommes et lui dit : « Mon fils, il y a une bataille entre deux loups à l’intérieur de nous. L’un est mauvais : c’est la peur, la colère, la jalousie, le ressentiment, l’arrogance, l’avidité, la critique, le rejet, la culpabilité, la honte, le mensonge, l’inquiétude. L’autre est bon : c’est l’amour, la paix, la joie, la gratitude, la compassion, la générosité, l’humilité, la bienveillance, le courage, l’acceptation, la vérité, l’espoir. »
Le petit-fils songea à cette histoire pendant un instant et demanda à son grand-père : « Grand-père, lequel des deux gagne ? » Le vieux Cherokee sourit et répondit : « Celui que tu nourris ! »
Conscience vs juge intérieur
Trompe-toi, trompe-toi et trompe-toi encore. Parce que tu auras vécu. Tout ce que tu planifies pour que ce soit parfait, c’est de la « non-vie », ca ressemble plutôt à « un plan de carrière ». Ne sois pas un « moine guerrier » qui te flique et vérifie si tu agis parfaitement. Sinon tu vas devenir un con et un mort-vivant ! Et le contrecoup de ce juge intérieur, qui te pousse à t’acharner à être un meilleur humain, un être parfait qui fait des choses parfaites, est une violence inouïe. Parce que la seule manière d’être un « meilleur humain » est de renier qui tu es vraiment. Tu seras bien plus heureux en étant inconscient, imparfait, en train de jouer ta vie dans un élan spontané et jouissif de te sentir vivre pleinement ta vie.
Franck LOPVET
Plus on cherche à mener nos enfants à un certain endroit, moins on est en train de leur donner de l’amour. Plus on est d’accord avec l’idée de ne pas pouvoir contrôler là où ils aboutiront, plus on a de l’espace pour les aimer. Si notre amour passe par l’idée que je sais mieux qu’eux ce qui est bon pour eux, ca devient davantage du contrôle que de l’amour. L’amour c’est accepter que l’autre vive sa vie comme il l’aura choisie. C’est accepter que le chemin de chacun appartient à chacun. C’est accepter que lui c’est lui, et qu’il n’est pas moi, mais autonome. Aimer ses enfants, ce n’est pas les guider ni les brider, c’est être présent, c’est garder le fil du dialogue, c’est les soutenir à devenir eux-mêmes. Quand on veut absolument les emmener quelque part de précis, quand on veut qu’ils réussissent absolument, qu’ils soient heureux avec notre version du bonheur, là c’est du contrôle, c’est agressif, c’est anxiogène et c’est souvent très ironique de voir que des parents persuadés de savoir mieux que leur enfant connaitre le chemin du bonheur soient eux-mêmes tout sauf heureux. [Au lieu de s’ingérer dans la vie de leurs enfants, ils feraient bien de reprendre le pouvoir sur la leur.]
FRANCK LOPVET
Autres ressources utiles
Bonheur & alignement

Le bonheur ne se trouve pas à l’extérieur (au travers d’une relation, d’un salaire, d’une expérience…), il se conquiert à l’intérieur de soi. Si vous voulez vous sentir heureux, plein de vitalité et en paix intérieure, alignez vos 4 sphères intérieures :
- votre sphère physique : en vous sentant bien dans votre corps (qualité du sommeil, de la nutrition, exercice physique, respiration, toucher, etc.)
- votre sphère émotionnelle : en comprenant et apprenant à gérer vos émotions, en vous guérissant vos blessures, en étant votre propre source d’amour inconditionnel, en vous reconnectant à vos besoins et votre joie, et ainsi en développant un attachement plus sécure et en développant la confiance et la paix en vous.
- votre sphère mentale : votre capacité à comprendre ce qui se passe et à prendre du recul, à dépasser vos blocages et automatismes limitants, à penser en conscience pour faire des choix lucides et justes …
- et votre sphère spirituelle : votre capacité à fixer un sens à votre vie, à vivre aligné à des valeurs que vous vous êtes choisies, à développer votre conscience de soi et du monde, à écouter votre intuition et la direction que vous guide votre âme.
Vivez heureux, vivez aligné !
Amour de soi

Charlie Chaplin a lu ce poème le 16 avril 1959, à son 70e anniversaire:
« Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai compris que la douleur et la peine émotionnelles sont des signaux m’avertissant que je vivais à l’encontre de ma propre vérité.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle …. L’authenticité !!!
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai compris combien je pouvais offenser quelqu’un en essayant de lui imposer mes désirs tout en sachant que ce n’était pas le bon moment et que cette personne n’était pas disposée à cela. Et même quand cette personne n’était autre que moi-même.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle …. Le respect !
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai arrêté de rêver d’une autre vie, et j’ai pu voir que tout ce qui m’entourait m’invitait à grandir.
Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle ….. La maturité !
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai compris que j’étais toujours au bon endroit au bon moment. Et j’ai compris que tout ce qui se passe est juste. À partir de là, j’ai connu une paix profonde.
Aujourd’hui je sais que cela s’appelle …. La confiance en soi !
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai rejeté tout ce qui n’était pas sain pour moi : la nourriture, les gens, les choses, les situations, tout ce qui me tirait vers le bas et m’écartait de moi même. Au début j’appelais cela de l’ « égoïsme sain » …. Mais aujourd’hui, je sais que cela s’appelle …. L’amour de soi !
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai arrêté de toujours vouloir avoir raison, et dès lors je me suis moins trompé.
Aujourd’hui, j’ai compris que cela s’appelle …. L’humilité !
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai cessé de vivre dans le passé et de m’inquiéter pour mon avenir. Maintenant je me concentre sur mon présent, là où tout prend place.
Ainsi je vis chaque jour pleinement et j’appelle cela …. L’apaisement !
Quand j’ai commencé à m’aimer, j’ai reconnu que mon esprit pouvait me rendre malade. J’avais dès lors appelé au secours les forces du cœur que mon esprit a accueilli comme un partenaire de valeur.
Aujourd’hui j’appelle ce lien ….. La sagesse du cœur !
Quand enfin j’ai aimé oser m’aimer, j’ai compris qu’aimer était la façon dont l’âme des hommes respirait. Et j’ai enfin commencer à respirer avec le monde.
Cela s’appelle la lucidité.
Nous n’avons nul besoin de craindre les discussions, les conflits et les problèmes avec nous-mêmes, et avec d’autres puisque même les étoiles se télescopent parfois, et créent de nouveaux mondes.
Aujourd’hui je sais, cela s’appelle …. LA VIE !!!. »
CHARLIE CHAPLIN | ECRIT PAR KIM MCMILLEN
Les 9 types d’amour

Les 9 types d’amour selon les grecs (évidemment ils peuvent être complémentaires) :
- EROS : le désir sexuel (la passion, l’attirance physique et sexuelle, l’amour romantique).
- PHILIA : la connexion à l’âme (sentiment platonique de connexion spirituelle, de confiance et de partage des mêmes valeurs ; le type d’amour envers des amis ou de la famille … mais aussi complémentaire à l’amour romantique dans une relation ; épanouissant et gratifiant à long terme)
- STORGE : l’amour dévoué (élan d’amour à prendre soin de l’amour, à lui être dévoué, y compris de manière unilatérale).
- PRAGMA : l’amour mature (un amour basé sur le devoir, la responsabilité, la raison, ses décisions rationnelles, les objectifs partagés ; ce type d’amour est difficile à entretenir à long terme s’il n’est pas couplé à de l’amour romantique ou de l’amour dévoué par exemple).
- LUDUS : l’amour ludique (le contraire de Pragma : l’amour insouciant, ludique, hédoniste, fondé sur le plaisir, le jeu, la taquinerie, la danse de la vie, profiter de l’instant présent)
- MANIA : l’amour obsessionnel (l’amour est ici maniaque, obsessionnel, alimenté par de la jalousie, de l’envie, de l’anxiété, de la possessivité, de l’instabilité émotionnelle ; il s’agit d’une déviance qui peut conduire à des maladies mentales, du harcèlement, de la violence, de la dépendance, du mal être pour soi comme pour l’autre).
- MERAKI : l’élan créatif (mettre du cœur à ce que l’on fait, faire avec amour de la cuisine, de la danse … toute activité émanant d’un élan créatif du cœur.)
- PHILAUTIA : l’amour de soi (sentiment d’estime et d’amour de soi indépendant de tout statut ou toute compétition avec les autres ; en reconnaissance de sa valeur en tant qu’être et non pour ce qui est fait / obtenu ; l’amour sain de soi est un prérequis à l’amour de l’autre et à des relations épanouissantes).
- AGAPE : l’amour inconditionnel (un amour qui ne dépend d’aucune condition, qui est offert sans rien attendre en retour et sans être repris « si »).
Faire de sa voix intérieure sa meilleure amie
« Tu es trop nulle/moche/conne/grosse », « Tu n’y arriveras jamais », « Tu as vraiment une sale tête aujourd’hui », …
Toutes ces phrases jugeantes, autocritiques, dévalorisantes, dénigrantes, démotivantes voire cassantes que vous vous dites parfois à vous-même … et que vous croyez; imaginez-vous en train de les dire, avec autant de crédit, à votre meilleure amie ou votre fille … Allez-y mettez-vous en situation : faites la liste de ces phrases assasines que vous vous dites et dites-les à haute voix avec assertivité à votre meilleure amie ou votre fille. Horrible non ? C’est pourtant ce que vous vous infliger à vous-même … potentiellement chaque jour …
Au lieu d’entretenir un voix intérieure négative qui vous juge, vous critique, vous faire sentir encore plus mal ; entretenez une voix intérieure positive qui vous écoute (dans vos besoins, vos doutes, vos ressentis), vous accepte telle que vous êtes, reconnait vos avancées et efforts, vous félicite de vos progrès et succès, vous soutient et vous réconforte face aux difficultés, vous encourage dans vos projets et vous donne de l’espoir.
Les mots ont du pouvoir. Ils ne sont jamais anodins. Ne soyons pas notre pire ennemi ni notre propre harceleur. Arrêtons l’auto-destruction et l’auto-flagellation. Choisissons de nous parler à nous-même avec autant de bienveillance que nous le ferions envers notre meilleure amie ; sans complaisance mais avec amour et de manière constructive et soutenante.
L’amitié est une valeur essentielle, alors appliquons-la à nous-même :
- Est-ce que je m’accepte telle que je suis (sans jugement), avec bienveillance et sans complaisance ?
- Est-ce que je prends le temps de m’écouter, de me soutenir, de prendre en compte mes peurs, mes doutes, mes vulnérabilités ?
- Est-ce que je me rends disponible à moi-même lorsque j’en ai besoin ?
- Est-ce que je me fais des compliments ?
- Est-ce que je m’accorde de la valeur ?
- Est-ce que je crois en moi et en mes rêves ?
- Est-ce que je respecte et fais respecter, moi et mes valeurs clés ?
- Est-ce que je m’encourage et me soutient dans les difficultés ?
- Est-ce que je m’aime et me donne des preuves d’amour ?
Lise Bourbeau identifiait 5 blessures de l’âme : blessure d’abandon, blessure de rejet, blessure de trahison, blessure d’humiliation, blessure d’injustice ; et j’en ajouterai une 6e : blessure de maltraitance. Et s’il est important d’identifier nos blessures, issues souvent de l’enfance, et de comprendre comment elles se sont développées dans nos premières relations de vie, et continuent à se jouer aujourd’hui, il est aussi essentiel de comprendre que toute blessure qui se rejoue aujourd’hui est une blessure que l’on s’inflige souvent de soi à soi aussi et que travailler sur cela est indispensable pour guérir :
- Blessure d’abandon : dans quelles circonstances je m’abandonne moi-même ? je me lâche la main et m’éloigne de moi ?
- Blessure de rejet : dans quelles circonstances est-ce que je rejette, me dévalide, met de côté mes différences pour coller à un modèle qui n’est pas moi ?
- Blessure de trahison : dans quelles circonstances est-ce que je me trahi moi-même, j’agis en opposition à mes besoins, mes valeurs, mes désirs, mes limites, les promesses que je me suis faites à moi-même.
- Blessure d’humiliation : dans quelles circonstances est-ce que je me juge, me critique, me dévalorise, m’insulte, m’humilie (en paroles dans ma tête, voire en présence des autres, voire dans mes actes) me vole ma propre dignité (corporelle, émotionnelle, psychologique) ?
- Blessure d’injustice : dans quelles circonstances est-ce que je suis injuste avec moi-même, avec les efforts que j’ai fourni, avec la réalité de ce que je vis ? avec ce qui est important pour moi ?
- Blessure de maltraitance : dans quelles circonstances est-ce que je me maltraite (dans mon corps, dans mon cœur, dans ma tête), je m’impose des choses de force contre mes propres limites, je me mets en danger et en souffrance ?
Développer l’estime de soi

Longtemps en Occident l’humilité a été un idéal. Kant pouvait ainsi écrire « L’amour de soi, sans être toujours coupable, est la source de tout mal ». L’estime de soi est aujourd’hui devenue une aspiration légitime … y compris prise en charge par certaines responsables politique : l’Etat de Californie a décrété en 1990 qu’il s’agit d’une priorité éducative et sociale de premier ordre car « le manque d’estime de soi joue un rôle central dans les difficultés individuelles et sociales qui affectent notre Etat et notre nation.
L’estime de soi c’est la reconnaissance de sa propre valeur intrinsèque en tant que personne. Ai-je de la valeur ? A quel point suis-je importante à mes propres yeux ? Comment est-ce que je me considère en tant que personne ? Quel vision je porte sur moi-même ? Est-ce que j’aime ce que je suis ?
Il ne s’agit pas d’ego, d’orgueil, de prétention ni de confiance en soi.
L’estime de soi est la capacité à s’exprimer dans sa singularité et à se respecter & se faire respecter sans empiéter sur les autres. Elle se construit souvent dans la tendre enfance, en fonction de la valeur que l’on vous a donné en tant qu’individu dans sa singularité. Evidemment, elle se développe et évolue dans le temps mais n’est pas vraiment lié à vos succès, vos réussites ou le développement de vos compétences … elle est inhérente à la vision que vous portez sur vous-même. Parfois on peut être le meilleur dans sa catégorie, reconnu de tous et portant se sentir sans valeur …
La confiance en soi, elle, résulte de la perception que nous avons de nos compétences, de nos qualités et de notre potentiel. Elle se construit au fur et à mesure de la vie au travers de nos expériences, nos apprentissages, nos succès et nos échecs. Elle est contextuelle : une personne a confiance en elle dans tel domaine car elle se sent en capacité de faire bien, elle s’en remet à ses compétences et son expérience et pense avoir le potentiel.
Pour renforcer l’estime de soi il est important de développer l’amour de soi, le respect de soi et l’auto-compassion. C’est-à-dire le fait de s’aimer soi-même, de s’accepter tel que l’on est, de se respecter, d’être un soutient pour soi-même, de s’écouter, d’être bienveillant envers soi.
10 saboteurs : ces protecteurs qui finissent par nous enfermer

Le psychologue Shirzad Chamine a identifié les 10 auto-saboteurs les plus répandus, que nous pouvons avoir inconsciemment mis en place (car ils nous ont été transmis dans notre éducation ou que nous avons développés pour nous protéger par le passé). Ces schémas de pensée finissent par nous enfermer dans des scénarios négatifs et limitants. Ces « protecteurs » deviennent ainsi des « auto-saboteurs » qui nous limitent dans notre potentiel et réduisent notre bonheur et bien-être. Quels sont les vôtres ?
- Le juge : la personne se juge et juge les autres en permanence. Elle se compare sans cesse aux autres, en positif ou en négatif. Ex : « je suis trop nulle », « je suis trop gentille », « tu es trop crédule » …
- Le maniaque : la personne consacre une énergie démesurée dans une course effrénée vers la perfection. Ce qui n’est pas parfait est dévalorisé. Ex: « je n’ai pas le droit à l’erreur », « je dois être partout » …
- Le trop gentil : la personne cherche à abreuver sa soif de reconnaissance et d’affection en tentant de plaire à tous, quitte à flatter démesurément. Elle finit par perdre de vue ses propres besoins. Ex : « Oui, quand tu veux », « Avec plaisir! »
- L’hyper performance : la personne a un besoin insatiable de réussite, de résultats et de signes extérieurs prouvant cette réussite. Elle finit par faire fi de ses besoins et émotions. Ex : « ca ne sert à rien si je ne suis pas la meilleure », j’aurais du faire mieux ».
- La victime : La personne se victimise et joue les martyrs pour attirer l’attention et l’affection des autres. Ex : « personne ne m’aime / me comprend », « c’est pas juste », « ca n’arrive qu’à moi ».
- L’hyper rationnel : La personne fait preuve d’une grande rigidité et se focalise sur les faits en faisant fi de toutes les émotions (de soi comme des autres) et de la complexité des relations humaines. Ex: « Les choses doivent être logiques », « Je n’ai pas de temps à perdre avec les sentiments ».
- L’hyper vigilant : La personne s’inquiète en permanence de tous les dangers éventuels autour de soi et intime les autres l’ordre d’en faire de même. Elle ne lache jamais prise. Ex : « Rien n’est jamais acquis », « Vous êtes inconscients, ce projet comporte de très grands risques ».
- L’agité : La personne est en mouvement permanent, elle recherche n’importe quelle activité et distraction pour occuper son temps. Elle s’interdit toute introspection et n’arrive pas à profiter du moment présent. Ex : « Je n’ai pas le temps », « Je dois faire ca après ».
- Le contrôlant : La personne a un besoin maladif de contrôle sur les gens et les situations. Elle ne supporte pas que l’on ne se plie pas à ses désirs. Ex : « Je dois tout faire sinon personne ne le fera à la place ».
- L’esquiveur : La personne fuit les conflits à tout prix. Elle préfère se dérober que d’affronter une situation désagréable. Ex : « Mais non, ca va se tasser ».
Les 10 saboteurs mentaux : quel est le vôtre ?
L’incapacité de notre cerveau à percevoir nos biais
Notre cerveau reçoit des millions d’informations à chaque milliseconde. Pour pouvoir les traiter efficacement et rapidement, il catégorise, simplifie, schématise … sans cela nous deviendrons fous et nous serions inaptes à traiter toutes ces données. Mais en faisant cela, notre cerveau commet de erreurs de pensée, de logique, d’interprétation, d’appréciation, de jugement, de catégorisation, etc. qui faussent notre perception de la réalité et nos décisions. On appelle cela des « biais ».
Il existe plus de 200 biais cognitifs (biais d’attention, biais d’ancrage, biais de confirmation, biais de généralisation, effet halo …) mais aussi des biais émotionnels, sensitifs, culturels, etc.
L’échiquier d’Andelson (voir vidéo ci-contre) est une expérience qui nous permet de prendre conscience de deux choses :
1) que notre cerveau nous joue des tours : nous voyons les cases A et B de couleurs différentes lorsqu’elles sont sur l’échiquier, alors qu’elles sont de même couleur. Pourquoi ? Car les couleurs des cases autour de celles-ci et les effet d’ombre et lumière induient par le poteau, biaisent notre perception.
2) et surtout, qu’une fois que nous avons prouvé à notre cerveau qu’il s’est trompé (que A et B sont de même couleur), nous n’arrivons toujours pas à voir cette réalité : notre cerveau continue à se tromper et les voir différentes. C’est-à-dire que même si nous sommes conscient de nos biais, il est essentiel de ne jamais oublier qu’ils continuent à nous induire en erreur, notre vigilance et intention sont essentielles pour déjouer ces biais inconscients que nous avons au quotidien par nature.
Les 3 filtres de Socrate

– Sais-tu ce que je viens d’apprendre sur ton ami ?
Comme chacun le sait, Socrate avait, dans la Grèce Antique, une haute réputation de sagesse.
Un jour, quelqu’un vient trouver le grand philosophe et lui demande :
– Un instant. Avant que tu ne m’en dises plus, j’aimerais te faire passer le test des 3 filtres.
– Les 3 filtres ?!
– Oui, reprit Socrate. C’est ma façon à moi d’analyser ce que j’ai à dire et ce qu’on me dit. Tu vas comprendre… Le premier filtre est celui de la vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me dire est vrai ?
– Non. J’en ai simplement entendu parler…
– Très bien. Tu ne sais donc pas si c’est la vérité. Alors passons au deuxième filtre : ce que tu veux m’apprendre sur mon ami, est-ce quelque chose de bon ?
– Ah non ! Au contraire.
– Donc, continua Socrate, tu veux me raconter de mauvaises choses sur lui et tu n’es pas certain qu’elles soient vraies.
– Euh…
– Pour finir, et c’est mon troisième filtre, est-il utile que tu m’apprennes ce que mon ami aurait fait ?
– Utile, non, pas vraiment.
– Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n’est ni vrai, ni bon, ni utile, à quoi bon m’en parler ?
Les 5 accords toltèques

- Que votre parole soit impeccable : La parole est très puissante ; elle a un pouvoir créateur comme un pouvoir destructeur. N’utilisez pas la parole pour médire, mentir ou calomnier. Laissez la place au silence, parlez de manière constructive et bienveillante, ni jugeante ni blessante ni médisante … avec les autres comme avec vous-même (voix intérieure). Utilisez la puissance de la parole dans le sens de la vérité et de l’amour. La qualité et l’intégrité de votre parole se mesure à l’aulne de l’amour que vous portez aux autres et à vous-même ; lorsque votre parole est impeccable, vous vous sentez bien, heureux et en paix.
- Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle : prendre son indépendance par rapport aux autres et ne pas croire que tout est tourné autour de soi : les autres font les choses et disent les choses par rapport à eux (ce qu’ils vivent, ce qu’ils pensent, ce qu’ils sont, ce qu’ils ressentent), ils agissent en projection de leur propre réalité et non par rapport à nous. Si quelqu’un vous critique ou insulte, c’est SA vision du monde, et SON système de croyances, mais ce n’est pas LA vérité. Le jugement des autres ne devraient pas vous affecter, c’est vous-même qui déterminer votre propre valeur. Ce qu’ils disent/pensent/font est leur affaire à eux ; cela ne doit pas atteindre votre vérité personnelle. Ne faites pas du jugement ou des actions des autres une affaire personnelle, et ne laissez pas votre insécurité personnelle vous faire du mal inutilement.
- Ne faites pas de suppositions : Arrêtez de présupposer, conjecturer, imaginer ce que l’autre pense … et y croire comme si ces hypothèses et probabilités étaient la réalité. Notre insécurité intérieure et la médisance trouvent souvent racine dans nos interprétations et les hypothèses infondées que nous nous racontons (« il a oublié mon anniversaire, il s’en fiche de moi » ; « Cet homme est trop bien pour moi, je n’ai aucune chance », etc.). Nos suppositions sont souvent erronées et le reflet de nos propres croyances plutôt que de la réalité. Ayez le courage de poser de vrais questions et d’exprimer vos désirs et doutes. Communiquez clairement avec les autres pour éviter les malentendus.
- Faites toujours de votre mieux : il n’y a pas d’obligation de réussite ni de perfection ! Il n’existe qu’une nécessité de faire de son mieux. Faites au mieux (ni plus ni moins) sur ces sujets qui vous tiennent à cœur, agissez (ne restez pas en inertie ou dans le niveau de la pensée/connaissance)… mais pratiquez en prenant du plaisir à ce que vous faites (il sera très difficile de donner de votre mieux et de tenir sur la durée un travail qui vous ennuie), essayez, améliorez-vous avec la pratique et l’expérience. Souvenez-vous que le mieux sera à un niveau variable en fonction du contexte et de votre état d’esprit du moment et soyez tolérant lorsque vous avez des difficultés ! Ne vous jugez pas, ne vous culpabilisez pas, n’ayez pas de regrets. Tentez, utilisez de manière optimale vos capacités du moment, soyez indulgent envers vous-même, acceptez de ne pas être parfait ni toujours victorieux.
- Soyez sceptique mais apprenez à écouter : questionnez la véracité de ce que vous pensez et expérimentez. Utilisez la force du doute. Ecoutez-vous, écoutez l’autre, laissez la place à la vérité de l’autre comme à la vôtre, écoutez l’univers et créez le silence en vous. Ecoutez l’intention qui sous-tend les mots et comprenez le message véritable.
Mieux vaut vivre avec des remords qu’avec des regrets
Aujourd’hui est le premier jour du reste de ta vie
Ce n’est pas parce que vous savez vous adapter quelque part que vous êtes à la bonne place

La grenouille : décider quand sauter

Si vous mettez une grenouille dans une casserole remplie d’eau et commencez à chauffer l’eau [ce que je ne vous recommande en aucun cas ;)], vous observerez que lorsque la température monte, la grenouille s’adapte et ajuste au fur et à mesure sa température corporelle en conséquence. Lorsque la température devient trop forte, la grenouille prend la décision de sauter de la casserole ; mais n’y parvient pas car elle a perdu toute sa force en ajustant sa température corporelle. Très vite, la grenouille meurt.
Qu’est-ce qui a tué la grenouille ?
Evidemment, on peut répondre l’eau bouillante… Mais une autre façon de voir la situation est de noter que ce qui a tué la grenouille est son incapacité à décider de sauter au bon moment.
Nous devons tous nous adapter à des gens et des situations ; mais il est essentiel de savoir quand il est encore pertinent de s’ajuster aux autres et au contexte ; et quand il est au contraire essentiel de sauter, c’est-à-dire de trancher et d’avancer en laissant derrière soi ces autres et ce contexte, pour se choisir soi et préserver son intégrité.
Dire non à une situation ou une personne qui vous exploite physiquement, émotionnellement, mentalement ou spirituellement; c’est dire oui à votre intégrité et à vous-même. Décidons quand sauter, sauter quand nous en avons la force.
NB : issu d’un post de M. Mahoutin Joel Didier AGBODJOGBE
Le maître et le scorpion : ne change pas ta nature

Un maître zen vit un scorpion se noyer et décida de le retirer de l’eau. Lorsqu’il le fit, le scorpion le piqua. Par l’effet de la douleur, le maître lâcha l’animal, qui retomba à l’eau, risquant de se noyer à nouveau. Le maître tenta de le tirer à nouveau en dehors de l’eau, et l’animal le piqua encore.
Un jeune disciple qui observait la scène se rapprocha du maître et lui dit : « Excusez-moi Maître, mais pourquoi insistez-vous ? Vous voyez bien qu’à chaque fois que vous tentez de le retirer de l’eau, il vous pique ! »
Le maître répondit : « La nature du scorpion est de piquer, cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. » Le maître réfléchit et, à l’aide d’une feuille, il tira le scorpion de l’eau et lui sauva la vie. Puis il dit à son disciple : « Ne change pas de nature parce que quelqu’un te fais mal, prends juste tes précautions.«
L’éléphant & la cordelette : briser nos chaînes

Un jour un homme passait près d’un troupeau d’éléphants. Ces énormes créatures étaient attachées avec de simples cordes à la patte avant ; aucune chaîne ni cage. Il était évident que ces animaux de 5 tonnes pouvaient se détacher par un simple coup de patte et retrouver leur liberté ; mais pour une raison qui lui semblait étrange, ils restaient attachés.
Il vit un dresseur à proximité et lui demanda comment cela se faisait-il que ces animaux restaient attachés et ne cherchaient pas à casser la cordelette.
Le dresseur répondit : « Eh bien, lorsqu’ils sont très jeunes et bien plus petits, nous utilisons la même taille de corde pour les attacher et cela suffit à les retenir attachés par rapport à leur force. Ils essayent parfois de l’arracher et de partir, mais n’y arrive pas. Quand ils grandissent, ils continuent à croire que tirer sur la corde ne sert à rien et qu’ils ne peuvent s’échapper. Dans leur tête, cela reste impossible. Ils continuent à se sentir emprisonné, alors qu’ils pourraient se libérer facilement….
Et vous, dans quelles croyances du passé ou anciennes expériences vécues vous enfermez-vous ?
« En âme et conscience »

Quelle belle expression … Et si on la prenait au sens littéral et décidions d’agir, de faire nos choix, de vivre « en notre âme et conscience » ?
Concrètement, et si nous vivions littéralement en âme et conscience ? C’est-à-dire non pas comme des zombies ou des « morts vivants » qui se laissent balloter par la vie et qui voient le temps passé ; mais en vivant pleinement chaque instant en pleine conscience et en nous assurant que notre âme est éveillée, active et vibrante à chaque moment offert que nous vivons.
Et si, nous faisions aussi nos choix en âme et conscience ? C’est-à-dire en étant pleinement conscient de ce qui se joue (en nous, pour nous, pour les autres, pour le monde) et écoutions vraiment ce que notre âme nous guide de faire?
Et si, quand nous sommes touché par tel ou tel événement de vie, nous choisissions notre manière de vivre ces événements et d’y répondre en « âme et conscience » … c’est-à-dire en pleine conscience, avec recul, sagesse, en se questionnant sur ce que notre âme est en train de vivre et comment elle nous invite à répondre pour être au plus juste. En se demandant aussi quels enseignements essentiels à notre âme cette expérience est venue nous proposée et ce que ces enseignements peuvent nous apporté dans notre vie.
Lettre d’Anthony Hopkins

J’ai compté mes années et j’ai découvert qu’il me restait moins de temps à vivre que j’en ai vécu.
Je me sens comme un enfant qui gagne une boîte de bonbons : le premier se mange avec plaisir, mais quand il se rend compte qu’il n’en reste plus que quelques-uns, il se met vraiment à les manger avec plaisir et en savourant.
Je n’ai pas le temps pour des conférences interminables sur les statuts, les lois, les procédures et le règlement intérieur, sachant que rien n’arrivera.
Je n’ai pas le temps de supporter des gens absurdes qui agissent en dehors de leur âge.
Je n’ai pas le temps de lutter contre la médiocrité. Je ne veux pas être dans des réunions où les egos sont gonflés.
Je ne supporte pas les manipulateurs et les opportunistes. Je suis préoccupé par les envieux qui essaient de discréditer les plus capables afin de s’emparer de leurs positions, de leurs talents et de leurs réalisations.
Il me reste trop peu de temps pour discuter des gros titres. Je n’en veux pas parce que mon âme est pressée. Il reste trop peu de bonbons dans le paquet.
Je veux vivre avec des gens très humains. Des gens qui peuvent rire de leurs erreurs, qui ont réussi leurs succès. Des personnes qui comprennent leur vocation et ne se cachent pas de leurs devoirs. Ceux qui défendent la dignité humaine et ne veulent être que du côté de la vérité, de la justice et de la droiture. C’est ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue.
Je veux m’entourer de personnes qui savent toucher le cœur des autres. Des gens qui, à travers les coups durs de la vie, ont appris à grandir et à conserver les douces touches de l’âme.
Oui, je suis pressé, je suis pressé de vivre avec l’intensité que seule la maturité peut donner.
J’essaie de ne gaspiller aucun des bonbons qui m’ont été laissés. Je suis sûr qu’ils auront meilleur goût que ceux que j’ai déjà mangés.
Mon but est d’arriver au bout, en harmonie avec moi-même, avec mes proches et ma conscience.
Vous pensiez avoir deux vies, et soudain vous réalisez que vous n’en avez eu et n’en avez toujours qu’une.
Leçons issues de la danse

- Choisir de danser parfois seul et parfois à deux, en couple, entre deux personnes complémentaires, consentantes et prenant chacune leur place.
- Etre aligné, ancré dans son corps et dans le sol, se tenir droit. Tenir sa posture, ses bras et sa tête avec dynamisme (mais sans rigidité), garder un corps fluide (mais tenu, jamais flasque).
- Tenir son cadre avec dynamisme, sans quoi je peux me blesser et la communication avec l’autre est altérée ; mais sans rigidité pour être ouvert et en communication à l’autre.
- Prendre sa place en autonomie, s’affirmer avec assertivité tout en laissant la place à l’autre.
- Etre à l’écoute de son corps et de ses ressentis.
- Exprimer sa personnalité à travers son style.
- Etre à l’écoute de la musique, du rythme (et des changements de rythme), de l’énergie, du moment présent (ici et maintenant avec l’autre).
- Développer sa relation à l’autre : ouverture, écoute, connexion, communication, …
- Ecouter sa créativité, créer une œuvre commune avec l’autre : coopération, co-construction.
- Développer son intelligence corporelle, sensorielle, émotionnelle. Lâcher prise sur le mental.
- Ne pas tenter de tout contrôler mais suivre les mouvements du corps et son inspiration, improviser en toute confiance car on connait le cadre et on se connait soi, jouer avec l’autre et danser au rythme de la musique.
- Lâcher prise et se laisser guidé. Créer sa liberté dans un cadre fixé.
- Accepter (ou non) une danse avec l’autre. Refuser parfois certaines passes qui ne nous conviennent pas et proposer autre chose.
Attention aux dérives de certains thérapeutes ! Je reprends ici certains termes qui ne sont pas miens mais que je trouve très parlant :
- Les Dhérapeutes : ces thérapeutes qui dérapent … et utilisent vos blessures, vos faiblesses et votre envie de vous en sortir pour vous abuser, d’une manière ou d’une autre.
- Les théraBEUHtes : ces thérapeutes « perchés » ou qui vous proposent d’utiliser de la drogue pour vous « accompagner ».
- Les thEGOrapeutes : ces thérapeutes qui ont tellement d’égo qu’ils se positionnent comme des êtres supérieurs qui « savent », qui sont « éveillés », qui ne partagent ni leurs propres difficultés ni leur zones d’ombres, qui entretiennent « l’admiration » de leur public et leur proposent de les « aider à essayer de les égaler avec le temps en travaillant beaucoup sur eux ».
- Les thérapeRFORMEutes : ces thérapeutes qui essayent de prendre le pouvoir sur vous, veulent vous « sauver », vous pousse pour « vous faire réussir » à réaliser tel ou tel changement (et parfois plus vite qu’à votre rythme, qui ne leur convient pas qui n’est pas le leur) pour que vous deveniez (enfin) cette « meilleure version de vous-même ».
- Les thérARNAQUEutes : les thérapeutes qui exercent alors qu’ils n’ont pas vraiment les diplômes / compétences correspondantes à ce qu’ils proposent à leurs clients.